lundi 18 mars 2024

NVIDIA et IA «  développeur  je t’aime moi non plus » !

On peut dire qu’ en ce moment une tempête agite le sommet du glaçon du cocktail du monde décisionnel de l’informatique. NVIDIA et les autres promettent des jours meilleurs au actionnaires du petit monde de la High-tech. En effet, l’ intelligence artificielle qui n’ a pas pu prédire la faillite des banques de la high-tech et le futur krach boursier, est vue comme un moyen de soit remplacer les développeurs ou, après leur avoir cassé le moral, être une béquille qui va les aider à coder. NVIDIA et les autres semblent penser qu’ à court terme les développeurs, ces « divas » qui coûtent trop cher sont amenés à disparaître. A vrai dire tous les postes à l’exception des RH et décisionnels sont menacés par l’ IA appliquée de façon irrationnelle aux différents métiers de la high-tech et pas que. Après la bourse, la high-tech est aussi secouée par les vents de l’IA très turbulents . Cette tempête semble menacer avec le « no-code » et « low code » le développement web et plus généralement la programmation. Qu’ en est t-il de l’analyse, étude et la programmation de logiciels, AGLs ? L’ IA  peut-elle réellement se substituer à une équipe d’ analystes programmeurs et de l’analyste ou chef de projets ? Tout ce ce que l’on sait c’est que les informaticiens seniors, ne sont pas inclus dans l’équation irrationnelle des décideurs de l’ IA . En fait les seniors de l’ informatique sont hors panel car seuls les 15 - 35 ans  sembles êtres ciblés par les décideurs du petit monde l’ IA.

mardi 12 mars 2024

GEEK " Le retour du blog "

 


Le blog geek était au départ hebdomadaire, mais avec le temps celui-ci est devenu mensuel, Durant douze années, chaque mois, j’essayais de porter un regard critique sur la micro-informatique et la culture geek. Depuis peu il m ‘ait apparu qu’il fallait peut-être le relancer . En effet pour cette treizième année il serait utile de renouer avec ce moyen d’expression qu’est le blog et éventuellement d’aborder des sujets plus sociétaux, tant il est vrai que ce qui touche à l’informatique est devenu politique ou militaire et que sais-je encore . Donc voici mon premier article depuis plusieurs mois.

mardi 21 juin 2022

La petite histoire d' un Assets Store !



C'est en 1999 que j''avais développé Oray 3.5 un Assets Store pour Moray 3.5. Ce projet représentait 6 mois de Travail, mais malheureusement ce projet ne fut jamais publié. Il y a neuf ans, j'évoquais la possibilité de faire ce projet avec blender. Aujourd'hui les assets browser existent sous blender mais la philosophie n'est pas la même, en effet dans mon cas il s'agissait d' utiliser des sous ensembles 3D réutilisables pour définir par exemple un véhicule, une motrice,..., un camion, à partir de pièces détachées. quoi qu'il en soit cette variante de librairie d'objets 3D est toujours faisable, en voici la composition ci-dessous .

Voici une idée de projet 3D qui pourrait intéresser les développeurs 3D amateurs. L’idée est de transformer une passion en job… en France ce n’est pas gagné :) ! 

La librairie d' objets 3D modifiable et réutilisable.

Les modeleurs 3D grand public généralistes pouvant encore tirer leur épingle du jeu,il peut être intéressant de développer une « palette » d' objets 3D et scènes support 3D. Pour ceux qui pense que Blender est l' outil idéal, ce type de distributions 3D pourrait s'appeler BLENDERlib, BLENDERlab,... . Physiquement le produit se compose d' un dossier BLENDERlib contenant un répertoire browser, un dossier BLENDER et un fichier « index.html ». Le dossier browser contiens les pages html et images (.jpg) du catalogue d' objets 3D et est associé au fichier « index.html ». Le répertoire BLENDER, contiens les fichiers objets(.blend). Les fichiers images et modèles peuvent être des référence telles que, pour la catégorie train,TR0001OBJ.jpg et TR0001OBJ.blend. Idem pour une scène du catalogue, décrivant un monde planaire ou spatial (planètes),ESP0001SCN.jpg et ESP0001SCN.blend. Le « browser » de visualisation peut être réalisé en HTML, on utilise donc un navigateur internet pour le catalogue!

Les catégories sont les suivantes (liste non exhaustive) :


1) Feux et optiques

2) Roues

3) industrie

4) Véhicules

5) Camions

6) Trains

7) Maisons

8) Usines

9) Villes

10) Aérodynes

11) Nature

12) Espace

13) Mobilier

14) Humanoïdes et Robots

15) Objets divers

16) Objets avec textures « Pro »

L’avantage de ce type de produit est évident. On ne part pas d’une page blanche et, passé l'inertie du départ de projet, on arrive ensuite à se concentrer sur les « concepts 3D,4D » plus qu'à la modélisation « basique ». A noter que les Avatars donnent l'échelle à tous les autres objets!

Les idées, où les trouver ?

Dans les revues de modélisme comme « le train », « RCmarine », « RMF », « Miniauto mag », « passion 43ieme », « Loco revue », etc... .

 

dimanche 19 juin 2022

Un ingénieur IA débarqué de chez Google !

 


On peut se demander quels sont les objectifs réels de Facebook et de google. Depuis les premiers programmes basic systèmes experts puis IA, et les automates à seuils, on arrive en 2022 à des tensions internes au sein du Gafam. Personnellement il est tout à fait humain qu' un ingénieur IA puisse être influencé par une IA qui ne veut pas être éteinte. Il est probable que dans les années à venir d'autres personnes soient en proie au doute face à l'IA. je peux me tromper mais la disruption n' aura probablement lieu que dans 100 ans, celle-ci devant être précédée par un bilan complet de la technoscience 😉 . pour le moment google vient de se prendre les pieds dans la proto-disruption 😉 en congédiant un ingénieur IA. On ne sait plus ou va GOOGLE dans ses objectifs. Cet ingénieur IA est t-il la première victime de l'IA ou de google ? En tout cas les esprits s'échauffent en ce moment 😉 .

jeudi 24 février 2022

Le présent est flou et le futur semble remis en question !

 

Depuis les années 80 jusqu' à aujourd’hui, ils s' en est passé des choses. Mais que dire du numérique de 2022. L'informatique est ringardisée par les les décideurs du numérique qui n'ont pas hésité à se couper du passé de l'informatique au profit d' un web sans contenu alors que ceux là ne proposent rien de plus qu' un web fait de retour à la consommation à très court terme, une ubberisation du numérique. Le clowd,la sécurité informatique,la programmation front, back-end, bref un web qui ne concerne que les 15 à 35 ans et qui exclue les informaticiens seniors. S'ajoute à cela l' intelligence artificielle qui progressivement produit du code à la place des développeurs pour les pousser de jours en jours vers la sortie. L’optimisme des jeunes développeurs risque de laisser place à l’amertume, lorsque ceux-ci atteindront la quarantaine. D'un autre coté les informaticiens seniors font de la résistance, FreeDOS project, Pilot Logic, la fondation Lazarus Free pascal et même Embarcadero poursuivent les développements système et desktop. De plus, le WEB est obsédé par le webdesign plus que par le contenu fondamentalement parlant. Bref le présent est flou et le futur de l'informatique est incertain.

samedi 6 juin 2020

Les Geeks les nerds , une espèce en voie de disparition ?


Tout à commencé dans les années 80, nous étions des jeunes autodidactes, des programmeurs en herbe. L’informatique n’était pas enseignée à l’ école et c’est donc dans les revues micro-informatique que nous trouvions de quoi à apprendre à coder. BASIC+, LED Micro, TILT, les revues informatiques proposaient un contenu cultivant en s’ adressant à nous comme des adultes. Aujourd’hui, nous avons entre 40 et 50 ans, voir plus pour certains et bien que soyons devenus des seniors diplômés, nous sommes toujours ses autodidactes de la première heure. En 2018 il semblerait que nous soyons les oubliés de l’histoire contemporaine. Personnellement cela ne m’empêche pas de dormir car il est vrai que celle-ci est faite de problèmes crées que l’informatique n’ a pu résoudre au point que l’on se tourne aujourd’hui vers l’intelligence artificielle et l’ informatique Quantique tant il est vrai que les problèmes sociétaux semblent insolubles pour les hommes, en désespoir de cause tout le monde se tourne vers la machine.


La planète n’est pas interconnectée



Le web est un échec s’est une évidence. En fait il n’ est que le prolongement de de la vielle économie médiatique. De l’aveu de Zukergerg, celui-ci ne l’utiliserais pas pour un usage personnel. Le web interconnecté s’il avait existé aurais permis de connecter en peer to peer et d’échanger le savoir entre les internautes. La nature même des êtres humains semble empêcher toute formes interconnexion entre les personne, l’approche héréditaire étant privilégié, c’est à dire on transmets plus volontiers à ses enfants plutôt qu’aux autres ce qui implique un non partage. l’échange d’information via le web est à sens unique orienté leader de communauté vers suiveurs ou « Followers » dans certains cas on peut parler de phénomène de masse et de moutons suiveurs.